Techniques & Stratégies

Réussir en plans d’eau privés 1ère partie

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Comportement des carpes et gestion de l’amorçage
de Ernesto Kamminga

J’ai pêché pas mal de privés au cours des dernières années. Cela s’accompagnait presque toujours de la réalisation d’un film.

Du coup, pas mal de gens me posent des questions sur certaines eaux.

Je constate que de nombreux carpistes aiment pêcher dans de telles eaux. Ce n’est pas surprenant, car en plus de votre propre poste, vous disposez également de nombreuses facilités !

Donc pas de stress et d’agréables vacances de pêche, et bien sûr de bonnes chances de prendre de très grosses carpes !

Pourtant, la question se pose : pêcher sur un privé est-il beaucoup plus facile et presque une garantie pour prendre une grosse carpe ?

À vrai dire, c’est statistiquement une pensée assez réaliste.

En effet, bien sûr, par rapport à la plupart des eaux publiques, il y en a beaucoup plus et, en général, elles sont reparties sur une superficie bien plus petite.

Cependant, il peut quand même être assez difficile de réussir à attraper une grosse carpe sur un privé.

Mais quelle en est la raison et comment réagir face au comportement de ces carpes ?

Réussir en plans d’eau privés 1ère partie Comportement des carpes et gestion de l’amorçage Ernesto Kamminga
Le lac de Curton est connu pour sa population de très grosses carpes !

Vous devrez d’abord comprendre pourquoi un certain comportement se produit.

Par la suite, il est important d’éviter que le niveau de méfiance chez les poissons n’augmente.

Après tout, lorsqu’un poisson est appâté en toute confiance, il est beaucoup plus facile à attraper !

Nous avons besoin d’amorce pour appâter les carpes et c’est pourquoi je veux me pencher un peu plus sur la quantité d’amorces par rapport à la densité de carpes d’un plan d’eau.

Nous aborderons ce sujet dans cet article !

Comportement des carpistes et réponse au comportement de la carpe…

Pour une bonne réponse à la question ci-dessus, nous devrons d’abord voir quels facteurs font qu’une carpe se comporte différemment.

Pour déterminer ces facteurs, vous devez en fait penser un peu dans l’autre sens.

Après tout, quand on y pense, nous, les pêcheurs, sommes responsables pour le comportement des carpes.

Les eaux privées, mais aussi les eaux publiques très fréquentées sont pêchées tous les jours.

Cela signifie qu’en regardant bien les habitudes des autres pêcheurs sur le plan d’eau en question, vous pouvez déterminer à l’avance comment la carpe va se comporter.

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Cela soulèvera un point d’interrogation plutôt qu’une réponse pour la plupart des gens.

Je vais vous expliquer le principe avec un exemple simple.

Supposons que vous n’êtes pas autorisé à pêcher la nuit sur une certaine eau. Ensuite, vous verrez que dès qu’il fait noir, les carpes sont très faciles à attraper.

Après tout, dès qu’il fait noir, les poissons ne sont jamais piqués, ce qui leur permet de se nourrir des appâts en toute sécurité pendant cette phase.

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Certains privés sont richement peuplés de carpes possédant de très belles écaillures !

Je citerai un autre exemple plus hypothétique. Supposons que vous ne soyez autorisé à pêcher qu’avec des hameçons de taille 4 ou plus sur une eau.

Dans ce cas vous pouvez presque être sûr que lorsque vous faites un montage avec un hameçon de taille 8, vous attraperez beaucoup plus de carpes.

Après tout, les poissons sont toujours piqués avec de gros hameçons et cela signifie qu’ils se nourrissent de telle manière qu’ils ne se font pas piquer à chaque fois.

Vous voyez maintenant où je veux aller. J’y reviendrai plus en détail dans la partie 2 de ce dossier.

« Le comportement de la carpe est déterminé par les habitudes des carpistes et la même façon de pêcher qui en résulte. Il s’agit donc d’observer la façon dont les pêcheurs pêchent l’eau en question. Vous pouvez alors réagir à cela et tromper davantage les carpes. Bref, c’est comme ça que le jeu fonctionne ! »

Danger ou sécurité ?

Dans la nature, les animaux sont toujours sur leur garde. Les choses étranges sont toujours considérées avec méfiance.

Ce fait est certainement quelque chose à garder à l’esprit lorsqu’on pêche. Juste pour citer un exemple.

Les chasseurs font beaucoup d’efforts pour camoufler leur présence et essaient de se fondre complètement dans leur environnement.

La dernière chose qu’ils veulent, c’est que leur proie découvre trop tôt que le danger est imminent.

Il est donc certainement bon de tenter d’éviter toute chose qui pourrait rendre une carpe plus méfiante. Après tout, un animal méfiant sera beaucoup plus difficile à attraper qu’un animal qui pense qu’il est en sécurité.

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Un poisson qui se sent en sécurité sera beaucoup plus facile à attraper qu’une carpe qui est stressée !

La question est bien sûre de savoir comment empêcher la méfiance chez les carpes.

Par exemple, il y a quelques années, je suis allé pêcher sur un privé assez grand. J’étais là sur invitation avec l’intention de réaliser un film.

Quand j’arrive, j’aime d’abord regarder l’eau.

Puis, quand la météo le permet, mes cannes sont préparées. Je garde un œil attentif sur l’eau pendant toutes les actions.

Dans cet exemple, j’ai très vite remarqué la présence de carpes sur ma zone de pêche. Les poissons étaient actifs et sautaient et roulaient régulièrement sur ce poste !

Je me frottais déjà les mains, car d’habitude, ils sautent partout, mais presque jamais sur le poste que je réserve.

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Mon coéquipier a commencé à planter sa tente et a enfoncé les sardines dans le sol avec un maillet en caoutchouc. Eh bien, vous direz que vous faites toujours ça et que les carpes sont habituées à ça.

Et parfois, c’est vrai. Mais sur cette eau, c’était le baiser des morts… Car en 15 minutes, il n’y avait plus de poisson sur notre secteur.

Je les ai vus quitter notre zone pour se diriger vers une autre partie du lac.

Mon coéquipier n’a rien vu du tout. Après tout, il était occupé à monter sa tente. Tout ce que je veux dire, c’est qu’assurez-vous que votre présence n’est pas remarquée immédiatement.

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La présence de pêcheurs sur la berge est très vite remarquée par les carpes !

Safe Zone

Sur de nombreux privés, on trouve une zone de sécurité où les carpes ne sont pas pêchées.

Il peut y avoir beaucoup d’obstacles dans l’eau à cet endroit. Mais aussi des parties très profondes, par exemple 20 mètres ou plus et où vous n’avez aucune chance avec des appâts de fond.

Ou un endroit si éloigné du rivage que la pêche n’y est pas possible ou autorisée.

Tout le monde connaît de tels endroits où la carpe peut rester en toute sécurité.

Pourtant, il arrive qu’à un certain moment, elles sortent de leur lieu sûr, il est donc important de savoir à quelle heure cela se produit et par où elles passent ensuite.

Dans le prolongement de cet exemple, je voudrais également citer l’exemple suivant.

Supposons que les poissons arrivent de la gauche et qu’ils se rapprochent d’abord du poste de votre voisin.

Dans ce cas, il se peut très bien que le pêcheur installé à côté de vous fait que les carpes nagent plus loin de la berge que c’est normalement le cas.

Supposons que ce pêcheur pêche à 80 mètres de distance et que vous pêchiez à 70 mètres.

Alors il n’est certainement pas inconcevable que vous n’attrapiez presque rien à cette distance.

Ceci alors que vous pourriez avoir plein de touches à, disons, 100 mètres du rivage !

Il arrive très souvent que les poissons soient, pour ainsi dire, repoussés plus loin par les actions de vos plus proches voisins !

Ceci n’est bien sûr qu’un exemple pour montrer qu’il est bon de savoir où se déplacent les poissons sur l’eau.

Ainsi, en plus des influences quotidiennes normales, il y a aussi d’autres éléments qui influencent le comportement des carpes.

En d’autres termes, vous devrez tenir compte de n’importe quel type de « pression de pêche » dans la tactique choisie !

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Hors de portée de cannes, les carpes se sentent en sécurité !

Pêcher efficacement !

Le comportement de la carpe et du pêcheur est lié, c’est maintenant clair.

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Mais existe-t-il une approche avec laquelle vous pouvez réussir sur chaque plan d’eau privé ?

Malheureusement, il n’y a pas de solution unique qui marche partout.

Pourtant, il existe certains facteurs qui font souvent la différence. Pensez à la taille du plan d’eau, au stock de poissons, à la quantité d’amorce déversée, mais aussi au caractère de l’eau en question pour n’en nommer que quelques-uns.

Ce sont des données que vous pouvez utiliser pour établir un plan d’action. Je développerai certains de ces points ci-dessous.

Pour que vous puissiez faire une meilleure estimation de la quantité d’amorce utile, mais aussi pour déterminer quelles sont les possibilités de pêche sur le plan d’eau que vous allez pêcher !

Quantité d’amorce ?

La densité de carpes d’une eau vous donne, en tant que pêcheur, un aperçu des limites inférieures et supérieures de la quantité de carpes susceptible de visiter votre poste à un moment donné.

Cela détermine également, tout comme l’amorce (qui arrive quotidiennement), ce à quoi vous pouvez vous attendre en termes de départs.

Vous devez également estimer le pourcentage de nourriture naturelle que le poisson peut absorber.

Parce que cela dépend bien sûr des besoins alimentaires totaux.

Dans l’ensemble, il est assez difficile de déterminer une quantité idéale pour l’amorçage, mais je peux vous donner quelques conseils.

« Il est certainement difficile d’estimer la quantité d’amorces qui se retrouvera dans l’eau, surtout lorsque le bateau est autorisé pour l’amorçage.

Mais une chose est certaine, les pêcheurs amorcent nettement plus depuis un bateau que depuis la berge ! »

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L’amorce balancée à l’eau ne pourra plus être retirée. Alors allez-y mollo !

Lorsque vous avez fait une estimation de la quantité d’amorces, vous devez la comparer au stock de carpes.

De plus, la présence de nourriture naturelle et un certain nombre d’autres facteurs tels que les conditions météorologiques influencent l’appétit de la carpe.

La grande question à laquelle vous devrez répondre est : pouvez-vous estimer la quantité d’amorces que la carpe aura envie de manger ?

Bien sûr, ce calcul vous donne également un aperçu du nombre de carpes que vous pourriez normalement attraper, pour que vous sachiez si vous pêchez bien ou si vous devez ajuster votre tactique.

Bien sûr, vous pouvez déjà réfléchir à tout ça avant votre session.

Vous essayez ensuite d’obtenir les informations les plus correctes pendant la session de pêche proprement dite.

Du moins, c’est comme ça que je pêche. Cela ne me dérange pas d’essayer quelques trucs pour avoir une meilleure idée de ce qui se passe sur ma zone de pêche. Lorsque vous associez toutes les données, vous pouvez toujours faire quelques ajustements !

Bref, très bien me direz-vous, mais à quoi ressemble le calcul en pratique ?

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Supposons que vous pêchez un plan d’eau de 10 hectares avec, disons, 500 carpes. L’eau de forme ronde est assez homogène en profondeur et il y a 5 postes pour un total de 10 carpistes.

Cela signifie que chaque pêcheur dispose d’environ 1 hectare d’eau disponible. En raison de la forme ronde et de la profondeur uniforme, vous pouvez supposer dans le calcul qu’environ la même quantité de carpes peut visiter chaque poste.

Cela signifie que chaque pêcheur a environ 50 carpes susceptibles d’être présentes sur sa zone.

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Calculez la quantité d’amorces !

Il vous faudra alors savoir combien une carpe peut manger. Cela représente généralement environ 2% de son poids corporel par jour.

Attention, on ne veut pas engraisser les carpes, mais les attraper ! C’est une différence essentielle avec un pisciculteur, car lorsque vous nourrissez des animaux, vous voulez que les animaux grandissent.

Lorsque vous pêchez, vous voulez les garder actifs pour qu’ils soient faciles à attraper. En d’autres termes, la carpe devrait en fait manger moins de nourriture que ses besoins alimentaires.

En plus de notre nourriture, la carpe mange aussi de la nourriture naturelle.

La quantité disponible, bien sûre, varie d’une eau à l’autre.

Tenez également compte de la période de l’année, de l’acidité de l’eau, de la présence ou de l’absence de plantes aquatiques, de blancs et autres nuisibles et de la profondeur de l’eau.

Mais c’est quand même bien de mettre un chiffre dessus.

Je suppose qu’une carpe dans un privé moyen consomme entre 20 et 50% de ses besoins quotidiens en nourriture naturelle !

Il reste donc environ 1 à 1,4 % du poids corporel qui peut être consommé en appât étranger au biotope.

« Rappelez-vous que lorsqu’un plan d’eau est trop amorcé, le poisson accumule des réserves de graisse. Cela signifie que la carpe devient beaucoup plus exigeante et prudente, et mangera moins plus tard dans l’année. »

Supposons que 50 poissons, d’un poids moyen de 13kg, font un total de 650kg de carpes. Prenez 1 à 1,4% de cela et cela représente environ 7 à 10kg d’amorce par jour.

Veuillez noter que ceci est valable dans des conditions favorables lorsque l’eau est supérieure à 16 degrés et qu’elle contient suffisamment d’oxygène.

Cela signifie que toutes les 24 heures ces poissons pourraient consommer entre 7 et 10kg de bouillettes.

Cependant, comme je l’ai dit, nous, les pêcheurs, voulons les attraper et non les engraisser.

Et si vous voulez les attraper, la carpe doit avoir faim !

De plus, lorsque la pression atmosphérique augmente, il se peut que la carpe ne mange presque rien pendant un ou deux jours. Il ne faut pas oublier que les carpes sont des animaux à sang froid qui peuvent utiliser leur énergie très efficacement.

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Un amorçage bien réfléchi rapporte bien plus qu’un bennage à l’aveugle !

Cela signifie que vous ne pouvez pas jeter ces 7 à 10 kilos de bouillettes sur votre zone tous les jours. Non, ces 7 à 10kg, c’est la quantité que les carpes pourraient manger (dans des circonstances favorables) dans le but d’être rassasié.

Pour former une image, vous devez la projeter sur vous-même.

Bien sûr, vous n’êtes pas une carpe, mais nous ne sommes pas étrangers à l’envie de manger.

Surtout après une dure journée de travail en plein air, vous avez rapidement un appétit supplémentaire.

Les premières bouchées sont toujours très satisfaisantes, mais au fur et à mesure du repas, la sensation de faim est satisfaite et on devient aussi plus exigeant.

Cela signifie qu’après avoir consommé, disons, 60 à 70% du repas, la sensation de faim s’estompe.

Ce n’est pas différent avec un animal !

Supposons qu’une carpe ait déjà reçu environ 40% de ses besoins quotidiens en calories grâce à des aliments naturels.

Ensuite, il est assez difficile de garder le poisson très actif. Revenons à notre calcul.

Cela signifie que dans des circonstances normales, vous pouvez utiliser jusqu’à 5kg d’amorce par 24 heures si vous souhaitez que les poissons restent suffisamment actifs.

Mais il y a autre chose que vous devriez garder à l’esprit

Dans cet exemple, il y a en moyenne 50 poissons présents sur chaque poste. Disons que tous ces poissons sortent 4 à 5 fois par an, soit une moyenne de 225 prises annuelles par poste.

Et disons que cela arrive dans 30 semaines (mois d’hiver supprimés). Ensuite, un pêcheur pêchera en moyenne 7 carpes par semaine.

C’est 1 poisson par 24 heures de pêche. Ce fait détermine également combien je vais amorcer !

Je pense qu’il est important que la quantité de nourriture et le nombre de poissons que vous attrapez soient en équilibre.

C’est pourquoi il est bon de savoir combien de poissons vous avez en face de vous, afin de pouvoir déterminer un résultat moyen. Et puis vous estimez ce que ces poissons peuvent manger.

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Ne pas suturer les poissons et faire en sorte qu’ils restent actifs !

Dans ce cas, vous pourriez amorcer 5 kilos et attraper 1 poisson pour atteindre votre moyenne de prises.

Maintenant, je pense que 5kg d’amorce pour prendre une seule carpe, c’est trop !

Je commencerais avec environ 500 grammes à 1kg de bouillettes par canne puis augmenterais ou diminuerais l’amorçage en fonction des prises.

D’après mon expérience, sur la plupart des eaux, les pêcheurs suralimentent les poissons. Et quand vous supposez cela, vous ne vous trompez jamais !

Bien sûr, il y a beaucoup de différences entre les appâts que vous utilisez pour l’amorçage.

Et j’entends par là le degré de satiété et de transit intestinal. Après tout, 1 kilogramme de bouillettes de très haute qualité (facilement absorbées) par la carpe a une valeur nutritionnelle bien supérieure à celle, par exemple, de 1 kilogramme de graines.

De plus, le transit intestinal joue un rôle majeur dans la quantité de nourriture qu’une carpe peut manger.

J’utilise moi-même très peu de graines.

C’est en partie parce que j’aime escher avec le même appât que celui utilisé pour l’amorçage. Mais aussi parce que les bouillettes que j’utilise sont très digestes et que les carpes se sentent bien après avoir mangé cet appât.

En fait, les carpes deviennent plus gourmandes à mesure qu’elles en mangent. Cela contraste avec les graines dont les poissons se lassent rapidement. C’est pourquoi un bon appât, surtout sur les eaux privées où les carpes ont déjà tout vu, joue très fortement à votre avantage !

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Il doit être clair que le degré de satiété (utilisation biologique) et le temps de transit intestinal des appâts que vous utilisez doivent être pris en compte également.

En plus de ce qui précède, il y a un autre point que vous devez garder à l’esprit concernant l’alimentation des poissons.

C’est la quantité d’amorces utilisée au cours de la période précédente. Le fait est que la carpe peut constituer une réserve de graisse comme les autres animaux.

En conséquence, une eau peut devenir difficile très tôt dans les meilleures périodes de l’année.

A savoir l’automne.

Lorsque les carpes ont déjà mangé plus qu’assez pour se nourrir durant les mois de juillet, août et septembre, l’appétit en octobre pourrait bien être réduit à presque zéro.

C’est pourquoi, il est bon d’effectuer ce calcul avant d’aller pêcher !

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Pour conclure

C’est devenu un peu technique.

Du moins pour certaines personnes peut-être, mais bon, j’aime vous faire réfléchir.

Le but ultime est bien sûr que vous puissiez mieux anticiper ce qui se passe au bord de l’eau !

Bien sûr, nous n’avons pas traité un certain nombre de questions. Vous pouvez alors penser au choix des postes, quels montages fonctionnent bien ?

Et qu’en est-il des différentes tactiques que vous pouvez utiliser ?

Et il y a bien encore des choses que j’aborderai dans la deuxième partie de ce dossier.

Réussir en plans d’eau privés 2ème partie

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